• Fiction Kilari : Kilari rencontre Nijika

     

     

    La suite de Kilari :

     

    Rencontre avec Nijika

     

     

     

     Chapitre 1

     

     

     

     

     

     

     

      Kilari : Bonjour tout le monde !

     


     

        La salle dans laquelle elle se trouvait était un studio d’enregistrement. Les personnes présentes dans la pièce la saluèrent d’un joyeux :

     


     

        Les personnes : Bonjour Kilari !

     


     

        La petite troupe se composait de M. Muranishi, Mme Kumoi et des Ships (Neko-nee : pas les Chips…Yui-chan : M’en fous, moi j’ai faim ! ). Sur la table devant eux, il y avait trois enveloppe ( Neko-nee: comme par hasard. Yui-chan : Rose ou bleu ? Neko-nee: Blanche  -_- Yui-chan : OK… ) blanches. À leur côté, se dressait fière et majestueuse… une souris, la présidente de l’agence.( Neko-nee : jamais compris pourquoi ? Yui-chan : Moi, oui, c’est normal, je suis la plus géniale ! Hiroto : De 1, vos commentaires débiles commencent sérieusement à me faire chier ! De 2, vous êtes qui, vous ? Yui-chan : L’important, ce n’est pas ce qu’on dit, qui nous sommes mais QUE sommes-nous, que pensons-nous ! Neko-nee : ALERTE, ALERTE !!!  Il nous a repérées ! )

     


     

        M. Muranishi : Nous avons trois postes pour toi. Le premier : travailler dans une boulangerie ( Yui-chan : MOI !! Neko-nee : ta gueule !!! Il ne doit pas nous entendre… ). Le deuxième : Travailler comme testeuse de jeux vidéo (Neko-nee : MOI !!!!! Yui-chan : Ta gueule !!! Il ne doit pas nous entendre… ). Le troisième : Jouer dans un film dont tu seras l’un des quatre personnages principaux. ( Yui-chan et Neko-nee : NOUS !!! Et une autre… ) Alors, lequel choisis-tu ?

     


     

        Kilari : Le troisième, comme ça je me ferai plein de nouvelles amies ! Et la nourriture de la cafeteria ne doit pas être mauvaise…

     


     

        Seiji : J’en suis sûr !

     


     

        Kilari (en sautillant) : Merci !!

     


     

        Hiroto : Moi, je suis sûr d’une chose : tu penses qu’à manger, ma pauv’ cruche.

     


     

        Kilari : T’es méchant, mon idiot !

     


     

        À ce moment-là, deux jolies jeunes filles pénétrèrent dans la pièce.  L’une était habillée en noir et l’autre en bleu. Toutes deux avaient des bottes Louboutin noires. ( Yui-chan : Waouw, elles sont belles… )

     


     

        La noire : Vous me faites chier avec vos histoires à l’eau de rose, sans vouloir vous vexer. En fait, non, c’est vraiment pour vous vexer.

     


     

        La bleue : Sois plus gentille ! Mais perso, tant qu’ils nous nourrissent, je reste, malgré leur amour si magnifique… Et chiant !

     


     

        M. Muranishi : Ah, vous voilà ! On vous attendait, Mlle Kohinata n’est pas avec vous ?

     


     

        La bleue : Non, on l’a semée « par accident » dans la nouvelle boutique pour les gens comme elle : Baby Dream’s.

     


     

    La noire : Bah, de toute façon, tant qu’elle trouve des vêtements au couleur de l’arc-en-ciel…

     


     

    Hiroto : Vous êtes qui, vous ?

     


     

    La bleue : Je suis ta reine adorée et voici ma Spéciale Roturière Personnelle ! Agenouille-toi devant ma grandeur, moi, le Dieu Poisson !!

     


     

    Pour illustrer ce qu’elle venait de dire, la noire posa un genou par terre et la bleue posa son pied sur son épaule. Son « altesse » hurla un « mouhahahahaha » machiavélique qui prouvait que son état mental était gravement atteint. Son cerveau avait dû subir un choc colossal – si elle en possédait une, de cervelle.

     


     

    Hiroto : Dieu Poisson, d’accord, parce que tu ressembles à une morue.

     


     

    La bleue : Tu peux toujours parler, Nemo.

     


     

    Seiji : Le rapport entre Hiroto et Nemo.

     


     

    La noire se releva, se craqua les doigts avant d’ajouter en donnant un coup de poing à Hiroto : Le rapport, c’est que tu n’es qu’un petit poisson qui ne sait rien faire – et qui est con par la même occasion – et que moi je suis un requin…

     


     

    La bleue : ET MOI LE DIEU POISSON !!!!

     


     

    La noire : Ta gueule, ma reine, sinon toi aussi, tu recevras un coup de poing dans ta royale gueule.  

     


     

    La bleue déglutit pendant qu’Hiroto se massait la joue.

     


     

    Mme Kumoi : Calmez-vous, mesdemoiselles  Matsuke.

     


     

    La bleue : On veut bien se calmer si, de 1 : vous nous donnez à manger et que, de 2 : vous admettez que je suis la meilleure !

     


     

    Hiroto : Oh non, comme si on n’avait pas assez avec Kilari, il nous faut une autre mangeuse à plein temps. 

     


     

    La noire redonna un coup de poing à Hiroto avant de crier : Bon, le râleur, tu peux te plaindre de qui tu veux, mais pas de ma reine ni de moi, pigé ?!

     


     

    Pile à ce moment-là, une grande jeune fille blonde pénétra dans la pièce. Ses cheveux longs et ondulés flottaient dans l’air et ses yeux bleus brillaient.

     


     

    M. Muranishi : Ah, vous voilà, Mlle Kohinata.

     


     

    Mlle Kohinata : Oh, appelez-moi Nijika, après tout, nous sommes amis ! Bonjour, je m’appelle Nijika Kohinata (Yui-chan : on avait cru comprendre… Neko-nee: Clair ! Hiroto : Quoi ?! Vous n’avez toujours pas fini avec vos commentaires ?! ) Et j’ai douze ans.

     


     

    La noire (sarcastiquement) : Alors, c’était bien, Baby Dream’s ?

     


     

    Nijika : Oui, Kinu ! Trop chouette !

     


     

    Mme Kumoi : D’ailleurs, faisons les présentations. Je suis Mme Kumoi, la manager de Kilari. Le pleurnichard à côté de moi est M. Muranishi, mon fiancé et directeur de cette agence.

     


     

    Kinu: Eh ben, vous avez tiré sur le gros lot.

     


     

    Seiji : bonjour, je m’appelle Seiji Iwatari(Yui-chan : c’est pas une marque pour les pieds ça ?), membre à part entière du groupe des Ships.

     


     

    Kinu : Ships… Ah oui !!!  Il y avait un livre sur vous… et personne ne le prenait.

     


     

    Seiji en brandissant un bouquin : tu parles de ça ?

     


     

    La bleue : Oh non, un livre, mon éternel rival !

     


     

    Kinu :t’es pas censé être écrivain dans la vraie vie, Miku ?