"Notre existence est un espace vide qui ne peut être remplit
Un lien qui ne peut être trouvé"
Je marche simplement dans le couloir de cette bâtisse. On me fait entrer dans une pièce et on ferme la porte à clef. Et c'est là que je te vois.  J'imagine que nous somme pareille, vide de vie.
"Même maintenant, nous sommes incapables de dire quoi que ce soit,
Comme si nos lèvres ont été volées"
Je ne dis rien, tu fais pareille. je veux dire plein de choses, mais je n'y arrive pas. Cela doit être réciproque de ton coté.
"Nous serrons nos poings. Jusqu'à ce que nous nous libérions de cet espace clos"
Tu te lève et frappe sur la porte, sous mon regard. Tu frappe tellement que j'ai l'impression que la porte risque de se briser. Je me dirige vers toi et pose ma main sur ton épaule. Tu me regarde, alors, je sais que tu veux te libérer.
"Nous supporterons nos tremblements."
Je te regarde trembler de colère, mais je le supporte.
"Mon corps résonne avec le tien.
Mes pensées sont les mêmes que les tiennes. "
Je te prends dans mes bras, comme si c'était évident. Je ne sans rien, comme si nous ne faisions qu'un. Pas besoin de parler, nous nous comprenons en un seul regard, un seul contacte.
"L'ambiance entre nous commence à se répercuter dans la salle.
Mon cœur est attiré par le tien. "
La pièce semble être moins grise à tes cotés, que m'as tu fais ? Je veux te connaitre, passer du temps avec toi. Mon cœur veux être avec toi.
"Suis-je en train de pleurer ? Suis-je en train de crier ?
Mes émotions débordent et ne peuvent être arrêtées."
Je crie? Je pleure? dis le moi. je n'entends plus que ta voix alors, dis le moi.
Mes sentiments, cachés depuis des lustres ne peux plus rester cloitrés dans mon être. Je suis désolé.
"Comme si nous comparions nos différences l'une après l'autre.
Et qu'elles finissaient par nous entourer. "
Nous sommes différent et pourtant nous arrivons à les comparé. Elles se ressemblent... Je suis dans un autre monde, avec toi. Mais pourquoi, comment arrive tu à faire ça ?
"Tes mots me font fuir cette réalité, et me transportent dans un monde de rêve. "
Tu me parle de toi et moi. Je ne vois plus les semaines que nous avons passés séparé. Je m'imagine dans un monde ou je suis avec toi.
"En ce moment, je ne veux qu'une chose,
Fermer les yeux et les garder contre moi. "
Je ne veux pas revenir à la réalité. je veux rester ici avec toi et tes belles phrases.
"Nous nous libérons de cet espace et nous connectons l'un à l'autre un bref instant. "
Tu arrive à fermer à ouvrir la porte et nous nous enfuyons un bref instant. Nous passons l'après midi dans un parc, avant de devoir revenir dans notre pièce....
"Cette mélodie que j'entends m'appelle pour que je me réveille. "
Une mélodie puis une dame vient pour m'enlever à toi, mais je ne veux pas. Je ne veux pas partir ! me laisse pas !
"Le passé et la réalité résonnent,
Ils changent de formes et se connectent l'un à l'autre. "
Pour un instant, notre amour et la dure réalité s'harmonisent et se créent un monde bien à eux. Tous disparais pour laisser place à la brume de l'espoir.
"Nos rêves qui résonnent,
Sont en train de s'harmoniser. "
Tous ce que nous avons rêver sont en train de s'harmoniser en une belle chanson.
"Suis-je en train de pleurer ? Suis-je en train de crier ?
Mes émotions débordent et ne peuvent être arrêtées. "
Je crie? Je pleure? dis le moi. je n'entends plus que ta voix alors, dis le moi.
Mes sentiments, cachés depuis des lustres ne peux plus rester cloitrés dans mon être. Je suis désolé.
"La foi que j'ai mise en toi commence à s'effriter,
Et ta voix commence à s'éteindre."
Je disparais encore une fois loin de toi. Mais je reviendrai te voir ! Encore ! Et, même si je n'entends plus ta voix, je l'imaginerai toujours.
'"La création, la résolution, l'oubli. "
"Pour moi, maintenant, ce sont les raisons pour lesquelles je suis ici. "
"Chaque marque, chaque ligne"
"Sont maintenant liés ensembles"'
Alors que je revenais pour ne unième fois tu ma dis :
- La création, la résolution, l'oubli. Pour moi, maintenant, ce sont les raison pour lesquelles je suis ici.
je t'ai répondu :
- Chaque marque, chaque lignes sont maintenant liés ensembles.
"Je me souviendrais toujours,
De nos voix qui s'harmonisaient."
Quoiqu'ils fassent, je me souvient toujours de nos voix qui s'harmonisent.
"Mon corps résonne avec le tien.
Mes pensées sont les mêmes que les tiennes."
je te prends dans mes bras, comme la première fois. Car nos corps résonnent entre eux, comme nos pensées.
"J'entends une voix qui me rends nostalgique
Et qui me tend la main."
Alors que les années ont passés, dans la rue, j'ai crus entendre une voix qui m'est familière. Je me retourne et je te vois. Devant moi. Tu me tends alors la main en me disant:
- heureux de te revoir.
"Suis-je en train de pleurer ? Suis-je en train de crier ?
Mes émotions débordent et ne peuvent être arrêtées."
Est ce que je pleure ? Est ce que je crie ? Dans les deux cas, c'est de la joie. J'ai toujours espérer te revoir. Je saute dans tes bras, mes sentiments sont rester trop longtemps cloitré dans mon être, je ne peux les refouler. Désolé.
"Ce monde est enfin libéré de ces chaines,
Et a créé un nouveau moi."
Je me calme et prends ta main. Notre monde est enfin libre d'être montré au grand jour.
Maintenant, je suis devenue la VRAI moi. Et ce, pour toujours.
 
Chanson chanté par Rin et Len Kagamine.
texte écrit par Rui-Rin-Lanka.

Bonjour, ici Neko-nee pour vous montrer un truc que j'ai vu à 23h...

Kodoku~Egoism

" Ah, je me sens si apathique et endormies, je me tenais la tête entre le mains et restais dans le cercle de l'organisation absolue..."
Je me réveille d'un long sommeille. Combien de temps ai-je dormis ? Autour de moi, se trouve dans gens à la capuche noir, que me veulent-ils ?
" Ayant abandonné inutilement mon temps et ma personnalité, dans une étroite cage à marionnettes..."
Je me rappelle alors qui je suis. Une petite fille à papa, obéissant à chacun de ses ordres, comme une marionnette. Le laissant décidé de qui je devais fréquenté, comment je devais me comporter, sans demander mon avis.
"Je demeurais attaché pour le restant de ma vie, comme une prisonnière, je n'ai rien fais de mal..."
Il m'empêchait de voir la vie, m'enfermant dans la solitude, comme une prisonnière. Je n'ai pourtant rien fais de mal ? J'ai toujours obéit, alors pourquoi ?
"Si je dois dire quelque chose alors pour avoir vécu aussi longtemps: Désolé ?"
Alors je lui est demandé. Il n'a rien voulut répondre, alors je lui est dit qu'il ne s'intéressait pas à moi. Il m'a crié que j'étais un fille indigne et je lui est simplement répondu :
- Je suis désolé d'être en vie.
" Mon avenir est si sombre que cela me fait pleurer, je ne peux rien voir dans ce monde complètement noir. Je suppose qu'ils doivent couper leur facture d'électricité, il n'y a aucune lumière brillante dans le future..."
Je regarde autour de moi, sombre. Sombre, comme mon avenir. J'ai fugué, évidement. Les gens n'ont pas de capuche noir, c'est l'obscurité qui me jouait des tours. Sont-ils eux aussi contraints d'obéir aux ordres de quelqu'un ? De toute façons, quoi que l'on fasse, on sombrera tous dans la folie du crépuscule.
" ' Quelle est la chose qui t'es la plus précieuse' me demandaient-ils. La réponse n'est-elle pas évidente..."
- Qu'elle est la chose qui t'es la plus précieuse ?
Je regarde l'homme qui me demande ça, perplexe. Avant d'éclater de rire. Pas un rire heureux, non, un rire fou, presque machiavélique. La réponse n'est pas évidente ?
" C'est ça, moi, moi, moi. Il y a autre chose à mentionner?..."
- La chose qui m'est le plus précieux c'est... MOI !!! Rien que moi !
Je crie ça comme si c'était une évidence.
" ' Es-tu heureuse maintenant ?' me demandaient-ils. la réponse n'est-elle pas évidente ?"
- Es-tu heureuse maintenant ?
Je recommence mon rire fou.
" C'est ça, Tandis que j'essayais de chasser ma solitude, j'ai le sentiment de boire un poison, poison, et voir manger l'assiette..."
- Comment être heureuse puisque la seule marque d'attentions venant de ma famille pour ma preuve personne n'est autre qu'une sorte de poison dans une assiette d'or. Même que, des fois, j'ai l'impression de devoir manger l'assiette.
" Ah, je pense que peut-être, je commence lentement à comprendre un petit peu tout ceci. je viens juste de remarquer que les gens étaient toujours destinés à périr même après leur naissance..."
Mon père mort d'un arrêt cardiaque et, pendant l'enterrement, je n'ai nullement pleurer. Est-ce donc la nature humaine de pleurer quelqu'un que vous n'aimiez pas ? Je regarde le cercueil, indifférente.
" Dans ce cas, j'ai définitivement envie de vivre une vie heureuse et confortable mais je semble toujours avoir un peu trop de considération pour les autres, pour une solitaire comme moi ! C'est un peu malheureux"
A partir de ce jour là, je n'ai plus cherché à aider les autres, pour devenir une solitaire. Comme mon père, je ne remerciais jamais les domestiques de notre maison. Ainsi, je ne souffrirais plus.
" Même lorsque je crois fièrement ce que j'ai vu sur terre, au final, je ne suis simplement qu'une grenouille ignorante. Avec mon esprit de combat inutile, je coule dans la mer..."
On m'a apprit plein de chose sur les liens entre personnes, mais ce que je retiens n'est autre que de l'hypocrisie. Je suis qu'une ignorante surement. Si je continue de combattre inutilement, je coulerai dans une mer de sang.
" Si par 'défaut' le plus fort pourra survivre,alors, les personnes inutiles ne sont que des ordures ?..."
On m'explique plein de fois que je dois être forte pour survivre. Alors, les faible, doivent mourir ? N'est ce pas un comportement animal ?
" Alors, tu songes à sauver le monde ? Tu devra me sauve d'abord"
Un jour, un garçon criait qu'il sauverait le monde, quand il sera grand. Je me suis avancer vers lui et lui ai dis d'une voix méprisante :
- Si tu sauve le monde, tu devra me sauver d'abord.
" 'Quelle est la chose que tu désires ?' me demandaient-ils. Il y a évidemment plus qu'une réponse."
- Quelle est la chose que tu désirs ?
Il me ramenait à la réalité et j'affichais alors un sourire fou
" Ah, je me sens seule et vide, et je veux, je veux plusieurs chose, j'ai assez de désirs pour cinq personnes."
- Je me sens seule, tellement seule que je veux plein de chose. Assez de chose pour cinq personnes
" ' Dis m'en plus sur toi' me demandaient-ils. La réponse n'est-elle pas évidente ?"
- Dis m'en plus sur toi.
- La réponse n'est-elle pas évidente ?
" C'est ça, je ne suis pas une personne ordinaire, moyenne, en quelque sorte une personne infime, actuellement un sac de déchet. Ce serait plus simple pur moi de disparaitre."
- Je ne suis pas ordinaire, moyenne. Je suis quelqu'un d'infirme. Un sac de déchets. Ce serait plus simple pour moi de disparaitre.
" 'Pourquoi es-tu en vie' me demandaient-ils. La réponse n'est-elle pas évidente? "
- Pourquoi est-tu en vie ?
- Vous ne le savez pas ?
"C'est ça, je suis très probablement une égoïste rusée, alors je ne veux pas que tout se termine ici !"
- Je pense être une égoïste rusée. Ne serait-il pas dommage que tout ce termine rapidement ?
Les hommes me regardent perplexe avant de me laisser partir, pensant surement que je mentais.
Comme ils étaient loin de la vérité.

Parole venant de Kodoku ~egoism chanter par Rin Kagamine.
Le texte à entièrement été écrit par Rui-Rin-Lanka